Une femme est passée
Nous laissant un message
Fait de joie et d'amitié:
L'amour est son langage.
Une femme s'est donnée
Toute sa vie entière,
Sur les pauvres s'est penchée
Soulageant leurs misères.
Une femme a partagé
Toutes les joies, toutes les peines:
Au ciel, elle doit briller
Comme une étoile sur la plaine.
Une femme a chanté
Sa foi, son espérance.
Elle a surtout compté
Sur la Providence.
Emilie, vous êtes comblée
De bonheur à l'infini
Nous allons vous prier
Vous, notre soeur, notre amie
(Mme T. B.-L, Associée Providence)
Émilie Gamelin est une Montréalaise qui a vécu dans les années 1800 et suivantes. Elle se maria et eut trois enfants. Devenue veuve et ayant perdu tous ses enfants, elle voua sa vie aux pauvres et fonda une communauté, les Soeurs de la Providence, pour l'aider dans sa tâche. Elle nous a laissé des valeurs toujours actuelles que nous connaîtrons dans les pages suivantes.
2008-04-19
2008-04-08
Les FILLES d'EMILIE et les Prisonniers (ères)
Les Filles d'Emilie continuent à s'engager auprès des victimes d'injustice, à démontrer leur compassion envers les prisonniers, (ères).
Fernande a fait sienne la mission d'apporter un soulagement aux prisonniers. Pendant dix ans, elle a été assistante-aumônier au pénitencier fédéral de Laval avant de devenir la première Canadienne aumônier, en 1986, à la Macaza; elle n'a jamais eu peur d'eux car ils la considéraient comme une grande soeur et la protégeaient. "Le seul diplôme pour travailler en milieu carcéral, c'est l'amour. Si on savait découvrir la bonté qu'il y a dans les coeurs des gras qui sont ici, on n'aurait pas besoin de clôtures et de béton."
Eva-Rose elle aussi, parle d'une "présence aimante"auprès de ces femmes qui souffrent à la prison Tanguay (Montréal), elle s'y rend àa chaque semaine elle tente de leur apporter réconfort et tendresse par son écoute attentive.
Madeleine témoigne aussi dune grande compassion envers ces résidentes de Tanguay, par son accueil inconditionnel, elle leur rend visible la bienveillance de Dieu-Providence,chaque dimanche.
Fernande a fait sienne la mission d'apporter un soulagement aux prisonniers. Pendant dix ans, elle a été assistante-aumônier au pénitencier fédéral de Laval avant de devenir la première Canadienne aumônier, en 1986, à la Macaza; elle n'a jamais eu peur d'eux car ils la considéraient comme une grande soeur et la protégeaient. "Le seul diplôme pour travailler en milieu carcéral, c'est l'amour. Si on savait découvrir la bonté qu'il y a dans les coeurs des gras qui sont ici, on n'aurait pas besoin de clôtures et de béton."
Eva-Rose elle aussi, parle d'une "présence aimante"auprès de ces femmes qui souffrent à la prison Tanguay (Montréal), elle s'y rend àa chaque semaine elle tente de leur apporter réconfort et tendresse par son écoute attentive.
Madeleine témoigne aussi dune grande compassion envers ces résidentes de Tanguay, par son accueil inconditionnel, elle leur rend visible la bienveillance de Dieu-Providence,chaque dimanche.
Dévouement à la manière d'Emilie
Les filles d'Emilie s'engagent encore pour les victimes d'injustice, les prisonniers, c'est comme cela que Soeur Fernande De Grâce a fait sienne la mission d'apporter soulagement aux prisonniers. Pendant dix ans, elle a été l'assistante aumônier au pénitencier fédéral de Laval (Québec) avant de devenir la première Canadienne aumônier dans un centre de détention en 1996, à la Macaza. Elle n'a jamais eu peur de ces personnes car ils la considéraient comme une grande soeur et ils la protégeaient; et de son côté, S Fernande leur démontrait compassion, confiance et les considérait comme des êtres humains ayant besoin d'être aimés.
"Le seul diplôme pour travailler en milieu carcéral, c'est l'amour. Si on savait découvrir toute la bonté qu'il y a dans les coeurs des gars qui sont ici, on n'aurait pas besoin de clôtures et de béton."
Soeur Eva-Rose Rheault aussi parle d'une présence aimante auprès des résidentes de Tanguay(Montréal) qu'elle visite hebdomadairement, malgré ses 78 ans bien sonnés. Dans le comité de Pastorale, elle reflète l'amour de Dieu par son écoute des femmes qui ont besoin elles aussi d'être reconnues.
Soeur Madeleine Gascon témoigne d'une présence accueillante, fraternelle et aimante; les femmes se sentent aimées malgré leur passé et Soeur Madeleine essaie de valoriser chacune
par son accueil inconditionnel et son amour compatissant.
"Le seul diplôme pour travailler en milieu carcéral, c'est l'amour. Si on savait découvrir toute la bonté qu'il y a dans les coeurs des gars qui sont ici, on n'aurait pas besoin de clôtures et de béton."
Soeur Eva-Rose Rheault aussi parle d'une présence aimante auprès des résidentes de Tanguay(Montréal) qu'elle visite hebdomadairement, malgré ses 78 ans bien sonnés. Dans le comité de Pastorale, elle reflète l'amour de Dieu par son écoute des femmes qui ont besoin elles aussi d'être reconnues.
Soeur Madeleine Gascon témoigne d'une présence accueillante, fraternelle et aimante; les femmes se sentent aimées malgré leur passé et Soeur Madeleine essaie de valoriser chacune
par son accueil inconditionnel et son amour compatissant.
2008-04-06
IL Y A 150 ANS
Les annales du temps rapportent que, par un mandement en date du 1er mai 1848 , Mgr Bourget, évêque du temps, pour s'acquitter d'une obligation contractée l'année précédente, lors de la terrible épidémie du typhus, rétablit la coutume, tombée en désuétude, des pieux pèlerinages à la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours dans le vieux Montréal.
A l'entrée de la chapelle, au plafond, une peinture représente des malades du typhus secourus par une Soeur Grise, une Soeur de la Providence et une Soeur de l'Hôtel-Dieu. Cette Soeur de la Providence représente bien toutes les Soeurs qui, depuis la fondation de la Communauté, ont soulagé les misères humaines de leur temps, dans tous les lieux du monde où elles ont été envoyées en mission.
Les petits coeurs, dans le sanctuaire, expriment la gratitude des pèlerins et des pèlerines envers Marie. Le 26 mai 1848, Mère Emilie Gamelin a offert deux coeurs en bronze doré dans lesquels elle avait inséré les noms des Soeurs vivantes à cette date, soient quarante(40). Mère Gamelin avait aussi inséré dans ces coeurs les noms de ses protégé(e)s.
Tous peuvent aller prier Notre-Dame-de-Bon-Secours. Ne passer jamais devant ce lieu saint sans entrer saluer Marie et lui recommander vos malades, vos personnes âgées et toutes celles qui ont besoin de secours, disait Mgr Bourget.
A l'entrée de la chapelle, au plafond, une peinture représente des malades du typhus secourus par une Soeur Grise, une Soeur de la Providence et une Soeur de l'Hôtel-Dieu. Cette Soeur de la Providence représente bien toutes les Soeurs qui, depuis la fondation de la Communauté, ont soulagé les misères humaines de leur temps, dans tous les lieux du monde où elles ont été envoyées en mission.
Les petits coeurs, dans le sanctuaire, expriment la gratitude des pèlerins et des pèlerines envers Marie. Le 26 mai 1848, Mère Emilie Gamelin a offert deux coeurs en bronze doré dans lesquels elle avait inséré les noms des Soeurs vivantes à cette date, soient quarante(40). Mère Gamelin avait aussi inséré dans ces coeurs les noms de ses protégé(e)s.
Tous peuvent aller prier Notre-Dame-de-Bon-Secours. Ne passer jamais devant ce lieu saint sans entrer saluer Marie et lui recommander vos malades, vos personnes âgées et toutes celles qui ont besoin de secours, disait Mgr Bourget.
S'abonner à :
Messages (Atom)