2007-02-06

17 ANS DÉJÀ…

Bien oui, c’était le 7 octobre 2001 que le Pape Jean-Paul II reconnaissait une guérison extraordinaire, dont le jeune Yannick Fréchette, de la région de Joliette, avait été l’objet, par l’entremise d’Émilie Gamelin.

En 1980, une leucémie avait été déclarée chez le jeune Yannick. A la suite de traitements suivis d’une rémission, d’une transplantation de la moelle osseuse suivie d’une nouvelle rémission, d’un rejet, puis de complications, de problèmes cardiaques, le pronostic des médecins quant aux chances de survie était nettement pessimiste.

Avec une grande ferveur, la grand’mère de Yannick, quelques parents, des amis, des enseignantes, invoquent Émilie Gamelin, confiants en sa grande compassion et en son pouvoir sur le cœur de Dieu Père. Le 21 décembre 1983, les médecins reconnaissent la reconstitution autonome de la moëlle épinière et la guérison complète de Yannick.

De 1983 à 2000 : des années de démarches, d’études de documents, de supplications, d’espoir pour que soit reconnue la puissance d’Émilie sur le cœur de Dieu.

Après cette période de supplication solidaire et soutenue, le 23 mai 2000, les théologiens, les cardinaux et les évêques apportent une réponse affirmative à l’action de Dieu qu’on appelle ‘miracle’ et aux nombreuses prières adressées au Ciel.


Puisse Émilie continuer d’intercéder pour nous et pour tous ceux et celles qui l’implorent aux jours de leur affliction.

(extraits du décret sur le miracle, 18 décembre 2000)

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2007-02-05

SUR LES TRACES D'ÉMILIE

Prière :

Jésus, toi qui as parcouru de longs chemins jusqu’à nous, des chemins sur notre terre, allant de lieu en lieu, de personne à personne, regarde, dans ta bienveillance, cette grande dame Emilie Gamelin qui t’a imité, en allant, parcourant des chemins de porte en porte, recherchant tes privilégiés, les pauvres, pour les honorer et les servir.

Donne-nous la grâce d’avoir une grande dévotion à Emilie et de vouloir comme elle, comme toi, parcourir des chemins, aller de porte en porte, de rue en rue, recherchant avec compassion, tes préférés, tes privilégiés, des pauvres, les aimant et les servant.

Nous te le demandons avec ferveur par les mérites de cette grande itinérante. Amen !

Gérard C., en ce jour anniversaire de la mort d’Emilie.