Presque chaque jour, les médias relatent pour nous des faits troublants, émouvants, inquiétants, entr’autres des femmes qui ont perdu des êtres chers et qui les pleurent : accidents, suicides, overdose, victimes du sida, victimes de violence et quoi encore!…
Sur le passage de l’ouragan ‘Jeanne’ en Haïti, des gens sont disparus; à New-York le 11 septembre 2001 que de vies perdues; chez nous des enlèvements se produisent, par des pères violents, ou ce sont des jeunes qui ont le ‘mal de vivre’ et qui veulent en finir avec la vie, et la liste s’allonge.
Les parents qui survivent et doivent faire face à la situation : ou bien ils se révoltent ou ils pardonnent ou ils en viennent à pouvoir se réconcilier avec la vie.
Emilie Gamelin a connu la douleur de perdre des êtres chers : ses 3 enfants et son époux en 4 ans, victimes de maladies infectieuses. Brisée par la douleur, elle se confie à un prêtre de sa paroisse qui lui remet une image de Notre-Dame-des-Douleurs au pied de la Croix de son Fils Jésus mourant. La contemplation de Marie éplorée mais forte, debout, amène Emilie à comprendre les pauvres et les malades de son milieu et à donner son temps, ses biens, sa maison, sa personne pour soulager la souffrance des autres. En se donnant à sa mission de compassion, peu à peu Emilie se réconcilie avec la vie… Bravo Emilie, tu parles à notre cœur!
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