Douleurs dites éprouvées par la Vierge Marie :
- La prophétie de Syméon sur l'Enfant Jésus. (Lc, 2, 34-35)
- La fuite de la Sainte Famille en l'Égypte. (Mat, 2, 13-21)
- La disparition de Jésus pendant trois jours au temple. (Lc, 2, 41-51)
- La
rencontre de Marie et Jésus sur la via crucis. (Lc, 23, 27-31) - Marie contemplant la souffrance et le décès de Jésus sur la Croix. (Jn, 19, 25-27)
- Marie accueille son fils mort dans ses bras lors de laDescente de croix. (Mat, 27, 57-59)
- Marie abandonne le corps de son fils lors de la mise au tombeau. (Jn, 19, 40-42)
La remise d'une image de la Vierge des Douleurs après la mort de son époux et de ses trois enfants, permit à Émilie de redresser la tête et de se vouer à soulager la souffrance autour d'elle avec une grande compassion
Prière:
1. Ô Mère des douleurs, je compatis à la souffrance qui accabla votre coeur très aimant lors de la prophétie du saint vieillard Siméon en laquelle vous fut révélée toute l’ampleur de vos peines à venir : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’adhérer toujours plus parfaitement à la sainte volonté de Dieu.
Je vous salue Marie etc...
2. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’angoisse qui étreignit votre coeur si sensible lors de la fuite en Egypte et du séjour en ce pays étranger où vous viviez, pauvre et méprisée : par votre coeur anxieux, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’un abandon filial et confiant à la divine Providence.
Je vous salue Marie ...
3. Ô Mère des douleurs, je compatis à la peine profonde dont votre coeur soucieux fut saisi lors des trois jours de la perte de votre Enfant à Jérusalem : par votre coeur si inquiet, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de craindre par dessus tout d’être séparé de l’amour de mon Dieu.
Je vous salue Marie ...
4. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’abattement qui s’empara de votre coeur lors de la rencontre avec Jésus portant sa Croix vers le Calvaire : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la patience dans les épreuves et la persévérance dans le bien malgré toutes les contradictions.
Je vous salue Marie ...
5. Ô Mère des douleurs, je compatis à la très amère passion que souffrit votre coeur généreux lorsque, debout au pied de la Croix, vous assistiez à l’agonie de Jésus et que vous entendîtes le cri déchirant dans lequel il rendit l’esprit : par votre coeur martyrisé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’une douce compassion aux peines et souffrances de mes frères.
Je vous salue Marie ...
6. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’extrême souffrance qui déchira votre coeur maternel lorsque la lance ouvrit le Coeur de Jésus et que son corps pantelant fut déposé sur vos genoux : par votre coeur supplicié , obtenez-moi, Vierge très aimable, de savoir rendre amour pour amour au divin Coeur de votre Fils.
Je vous salue Marie ...
7. Ô Mère des douleurs, je compatis à la poignante tristesse qui submergea votre coeur de flots amers lorsque le corps de Jésus fut déposé dans le sépulcre : par votre coeur transpercé de sept glaives, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de ne jamais me décourager, quelque importantes que soient les ténèbres et l’adversité.
Je vous salue Marie...
V. Priez pour nous, Vierge très affligée.
R. Afin que nous soyons dignes des promesses de Jésus-Christ.
Oraison :
Nous vous en prions, Seigneur Jésus-Christ, qu’intercède pour nous auprès de votre clémence, maintenant et à l’heure de notre mort, la Bienheureuse Vierge Marie votre Mère, dont l’âme très sainte fut transpercée d’un glaive de douleur à l’heure de votre Passion. Ô Vous qui vivez et régnez avec le Père, dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu pour les siècles des siècles.
Prière composée par Frère Maximilien-Marie – reproduction autorisée à condition d’en indiquer la source)
Prière:
1. Ô Mère des douleurs, je compatis à la souffrance qui accabla votre coeur très aimant lors de la prophétie du saint vieillard Siméon en laquelle vous fut révélée toute l’ampleur de vos peines à venir : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’adhérer toujours plus parfaitement à la sainte volonté de Dieu.
Je vous salue Marie etc...
2. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’angoisse qui étreignit votre coeur si sensible lors de la fuite en Egypte et du séjour en ce pays étranger où vous viviez, pauvre et méprisée : par votre coeur anxieux, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’un abandon filial et confiant à la divine Providence.
Je vous salue Marie ...
3. Ô Mère des douleurs, je compatis à la peine profonde dont votre coeur soucieux fut saisi lors des trois jours de la perte de votre Enfant à Jérusalem : par votre coeur si inquiet, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de craindre par dessus tout d’être séparé de l’amour de mon Dieu.
Je vous salue Marie ...
4. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’abattement qui s’empara de votre coeur lors de la rencontre avec Jésus portant sa Croix vers le Calvaire : par votre coeur si éprouvé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la patience dans les épreuves et la persévérance dans le bien malgré toutes les contradictions.
Je vous salue Marie ...
5. Ô Mère des douleurs, je compatis à la très amère passion que souffrit votre coeur généreux lorsque, debout au pied de la Croix, vous assistiez à l’agonie de Jésus et que vous entendîtes le cri déchirant dans lequel il rendit l’esprit : par votre coeur martyrisé, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce d’une douce compassion aux peines et souffrances de mes frères.
Je vous salue Marie ...
6. Ô Mère des douleurs, je compatis à l’extrême souffrance qui déchira votre coeur maternel lorsque la lance ouvrit le Coeur de Jésus et que son corps pantelant fut déposé sur vos genoux : par votre coeur supplicié , obtenez-moi, Vierge très aimable, de savoir rendre amour pour amour au divin Coeur de votre Fils.
Je vous salue Marie ...
7. Ô Mère des douleurs, je compatis à la poignante tristesse qui submergea votre coeur de flots amers lorsque le corps de Jésus fut déposé dans le sépulcre : par votre coeur transpercé de sept glaives, obtenez-moi, Vierge très aimable, la grâce de ne jamais me décourager, quelque importantes que soient les ténèbres et l’adversité.
Je vous salue Marie...
V. Priez pour nous, Vierge très affligée.
R. Afin que nous soyons dignes des promesses de Jésus-Christ.
Oraison :
Nous vous en prions, Seigneur Jésus-Christ, qu’intercède pour nous auprès de votre clémence, maintenant et à l’heure de notre mort, la Bienheureuse Vierge Marie votre Mère, dont l’âme très sainte fut transpercée d’un glaive de douleur à l’heure de votre Passion. Ô Vous qui vivez et régnez avec le Père, dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu pour les siècles des siècles.
Prière composée par Frère Maximilien-Marie – reproduction autorisée à condition d’en indiquer la source)
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