2017-05-30

La compassion selon Émilie Gamelin

Selon Wikita, "La compassion (du latin: « je souffre avec » et du grec: sympathie) est une vertu par laquelle un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier"... 

En psychologie," la compassion est une prédisposition à la perception et la reconnaissance de la douleur d'autrui, entraînant une réaction de solidarité active, ou seulement émotionnelle. Il s'agit donc d'une variante d'empathie axée sur la douleur." 
Attention:" si une personne se noie, cela n'arrange pas les choses de se noyer avec elle.. De plus, pleurer sur le sort de quelqu'un ne l'aide généralement pas."

Dans le bouddhisme: La compassion est définie comme l'aspiration d'éteindre toutes les souffrances ainsi que les causes de souffrance que peuvent connaître les êtres sensibles dans le monde entier. La compassion est une valeur fondamentale du bouddhisme. Elle compte ainsi parmi les facultés spirituelles d'amour appelées les quatre incommensurables.

Dans le Christianisme: La compassion évoque un sentiment de fraternité humaine, qui nous incite à effectuer des actes de 
charité et donc à secourir notre prochain. On agit par compassion en accomplissant tout acte de partage. Si un Chrétien ressent un sentiment de compassion, c'est qu'il serait aussi disposé à accomplir un acte de charité par respect de ses valeurs aussi bien que par considération.

Pour l'Islam: La notion de compassion dans l'Islam est essentiellement représentée par le concept de Zakâh qui veut que tout bon musulman se doit de faire preuve de charité et d'attention envers les pauvres.

Dans le Judaïsme: C'est une question importante pour le judaïsme, qui souhaite voir s'établir une société fondée sur la justice.

Pour Émilie Gamelin:  Cette femme que le peuple loue, que le peuple pleure c’est notre MÈRE! Cette femme citée en exemple, appelée l’héroïne de la charité nous l’avons vue à l’œuvre dans ce trop court exposé. Femme au cœur attentif, a-t-on écrit, Mère des pauvres et des orphelins, a-t-on répété. Femme qui a poussé jusqu’à la folie, mais la folie de la croix, le don de toute sa vie au service des pauvres. Femme qui a su être à l’écoute de Dieu et de l’Église, pour répondre aux besoins de son temps, en prenant souci d’abord et avant tout de la misère la plus misérable, en en faisant même une priorité dans son activité charitable; femme qui a crié au monde que le Seigneur est Providence, et qui a incarné cette Providence par toute sa vie, en compatissant vraiment aux misères humaines, compassion qu’elle a puisée au cœur même de la Vierge des Douleurs, de la Mère de la Compassion. Trilogie inséparable en sa vie et en notre vie : Notre-Dame des Sept-Douleurs, les pauvres, la Providence!


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